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Photothèque de Cuniculture
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Elevages de Lapins
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La
filière cunicole au Bénin - partie
1- 2
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Depuis
la fin des années 80, la cuniculture béninoise bénéficie
du soutien du CECURI créé avec un soutien financier belge
et un soutien scientifique français
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 Implanté au sein de l'Université d'Abomey-Calavi, le CECURI dispose d'installations fixes et de 2 bâtiments d'élevage pouvant accueillir 200 femelles |
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 Vue de l'intérieur du bâtiment 2. Remarquer la forte aération du local. Les cages grillagées sont suspendues au-dessus d'une fosse profonde. |
 Des marches fixes permettent de remplir à la main les bacs d'alimentation en eau dans les cas de coupure de l'eau de ville |
Le CECURI travaille avec les lapins localement disponibles. Ceux-ci sont issus de croisements multiples et répétés entre des lapins importés plus ou moins régulièrement d'Europe depuis la fin du 19e jusqu'au début du 21e siècle |
 Parmi les lapins issus de ces croisements multiples ressortent parfois des lapins albinos. |
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 l'alimentation est assurée avec un aliment composé le plus souvent en farine, ... |
 ... , cet aliment est complémenté par du fourrage vert (au Cecuri des feuilles de palmier) pour apporter vitamines et fibres |
 Sur le même site est implanté un atelier de fabrication d'aliments composés pour lapins (Provenderie). |
 L'atelier est équipé pour fabriquer des aliments en farine ou en granulés (ici granulés en sortie de refroidisseur) |
 Dans cet élevage commercial de la région de Cotonou, les cages grillées n'étaient pas encore (2003) équipées d'un abreuvement automatique |
 Les cages de fabrication locale sont équipées de boites à nid intérieure en bois. Le fourrage complémentaire est ici du Penisetum (herbe à éléphants) |
 Pour éviter que le lapins ne souillent leur fourrage celui-ci est accroché en haut de cage, bloqué simplement par la porte d'accès à la cage |
 Ce gros élevage "le Mikado" abat lui même ses lapins et a ouvert un magasin de vente des carcasses. Il y vent aussi des aliments pour lapins ainsi que des agoutis (Aulacodes) et leur alimentation. |
 Les carcasses sont vendues fraîches ou le plus souvent congelées (présentation en congélateur fermé à vitre) |
 Au centre du Bénin, un local d'élevage pour 30 mères et la suite. Toit en tôle et parois à claire-voie |
 Dans le local très aéré les cages métalliques sont placées sur un seul nivreau |
 Les cages métalliques sont placées à hauteur de travail sur des cadres de bambou (la section circulaire des bambou laisse passer les crottes) |
Une partie importante de l'alimentation est assurée par des fourrages verts mis sur le sol de la cage, en complément de maïs broyé. Un ratelier à fourrage aménagé dans la cage aurait évité que les lapins ne souillent leur alimentation. |
 Pour les mâles, des cages à parois pleines en tôle ont été confectionnées pour éviter les projections d'urine |
 La farine de maïs est distribuée dans des boites de récupération. Comme elles ne sont pas bien fixées, les lapins tendent à les renverser, ce qui n'arrive pas aux abreuvoirs en terre cuite brune plus lourds. |
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photos filière cunicole béninoise
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