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A.
AZARD, 2005. Principaux résultats du réseau de fermes
de références cunicoles de 2000-2001 à 2003-2004.
11èmes Journées de la Recherche cunicole, 29-30 nov.
2005 Paris, ITAVI édit., 3-6.
Institut
Technique de lAviculture, 28 rue du Rocher, 75008 Paris France. |
Résumé.
Le réseau de fermes de références cunicoles
CUNIMIEUX fournit depuis 1997 des informations détaillées
sur les exploitations cunicoles, les pratiques des éleveurs,
leurs performances zootechniques et leurs résultats économiques
jusquau coût de production. Outil complémentaire
des gestions technico-économiques, il permet de suivre lévolution
de la production cunicole à partir dun échantillon
dune centaine délevages répartis sur lensemble
du territoire. Lanalyse des résultats économiques
sur la campagne 2003-2004 montre une amélioration de la marge
brute du fait notamment de la remontée du prix du lapin, les
coûts de production main doeuvre comprise restant néanmoins
supérieurs aux prix de vente. Lintérêt de
linsémination artificielle et de laugmentation
de la taille de latelier en termes de temps de travail et de
rémunération de léleveur est confirmé.
Par exemple les élevages en IA de plus de 400 femelles dépensent
3,5 ±1,3 heures par femelle et par an.
Pour les élevages en IA de moins de 400 femelles le chiffre
est de 4,6 ±1,7 h. Pour ceux en saillie
naturelle les valeurs sont de 6,6 ±1,3
et 9,1 ±2,3 h suivant qu'ils ont + ou
- de 300 femelles. |
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Décomposition
du coût de production selon le type de conduite en 2003-2004
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€uros
/ kg vif produit
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IA
400 Fem & + |
IA
- de 400 Fem |
Saillie
naturelle |
Rémunération
de la main d'oeuvre (1) |
0,31 |
0,35 |
0,56 |
Aliment
(blanc et médicamenteux) |
0,79 |
0,91 |
0,89 |
Frais IA
et renouvellement |
0,12 |
0,14 |
0,05 |
Prophylaxie
et désinfection |
0,13 |
0,11 |
0,10 |
Frais d'élevage
(énergie, eau, litière, ...) |
0,09 |
0,10 |
0,12 |
Cotisations,
impôts et taxes |
0,12 |
0,15
|
0,24 |
Amortissements
et frais financiers |
0,19 |
0,24 |
0,20 |
Total coût
de production |
1,77 |
2,00 |
2,16 |
Prix de
vente |
1,71 |
1,74 |
1,87 |
Différ.
prix de vente - coût de production |
-0,06 |
-0,26 |
-0,29 |
(1)
Hypothèse: 1,5 SMIC net mensuel, 450 fem./ UTH en IA et 300
fem./ UTH en SN |
NDRL : L'information
contenue dans cette communication sera reprise et développée
dans un article ultérieur dans la revue. En effet, l'hypothèse
de rémunération retenue pour le coût de la main d'uvre
d'une part et les temps de travaux enregistrés d'autre part laissent
supposer qu'en IA avec 450 femelles le besoin de main d'uvre serait
de 30,3 heures par semaine, cette charge étant à répartir
entre l'éleveur et la main d'uvre de remplacement à
payer sur le "revenu de la main uvre" lors des (trop rares)
congés de l'éleveur. Affecter un revenu de 1,5 fois le SMIC
à 30,3 h par semaine (+10% pour les congés payés) nous
semble une hypothèse qui peut être discutée. |
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M.
JACQUET1, C. TELLER2,
L. VAN SANTFOORT3, 2005. Résultats
de deux centres de référence et dexpérimentation
de production du lapin en Belgique :engraissement en parc sur litière
et
conduite en bande unique à 49 jours. 11èmes Journées
de la Recherche cunicole, 29-30 nov. 2005 Paris, ITAVI édit.,
7-10.
1 FACW, Filière
Avicole et Cunicole Wallonne, 47 Chaussée de Namur, 5030 Gembloux,
Belgique
2 Centre de Référence et dExpérimentation,
1 Rue Berbosh, 4880 Aubel, Belgique
3 Centre de Référence et dExpérimentation,
11 Chemin du Paradis, 5660 Boussu-en-Fagnes, Belgique
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Résumé
Lengraissement en parc sur litière et la bande
unique à 49 jours sont des modes différenciés
de production du lapin, destinés à satisfaire des besoins
du marché. Un an dobservation dun Centre de Référence
et dExpérimentation (CRE) agréé par la
Direction Générale de lAgriculture de la Région
Wallonne pour lengraissement en parc sur litière montre
que le temps de travail et lindice de consommation (4,78) sont
des facteurs déterminants pour la rentabilité et lappréciation
de la plusvalue à la vente des lapins. Le travail de
paillage est relativement important puisqu'il doit être fait
au moins 3 fois par semaine et une circulation important d'air doit
être assurée pour évacuer l'ammoniac qui se forme
dans la litière. Deux années dobservation dun
autre CRE agréé pour la bande unique en 49 jours, avec
un résultat de production de 124,7 kg vifs par femelle et par
an et, un indice de consommation alimentaire de 4,14 tendent à
situer la marge brute à un niveau sensiblement équivalent
à celui qui est dégagé en moyenne par la conduite
à 42 jours. Il faut toutefois préciser que dans ce deuxième
CRE, les lapins ont été engraissés jusqu'à
l'âge de 84,5 jours en moyenne pour un poids de vente de 2,92
kg, avec une productivité moyenne de 42,7 lapins vendus par
femelle et par an (engraissement en cages grillagées polyvalentes
de 0,39 m² à raison de 6 lapins par cage, soit 45 kg/m²
en fin d'engraissement). |
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N.
ZERROUKI1, S. A. KADI2,
M. BERCHICHE1, G. BOLET3,
2005. Evaluation de la productivité des lapines dune
population locale algérienne, en station expérimentale
et dans des élevages. 11èmes Journées de la
Recherche cunicole, 29-30 nov. 2005 Paris, ITAVI édit., 11-14.
1 Laboratoire
de recherches en physiologie et nutrition animales, Université
de Tizi-Ouzou, Algérie
2 Centre de Formation Professionnelle et de lApprentissage de
Mechtras, Tizi-Ouzou, Algérie
3 INRA Station dAmélioration Génétique
des Animaux, BP 52627, 31326 Castanet Tolosan Cedex, France |
Résumé.
L'objectif de cette étude est d'évaluer la productivité
des lapines dune population locale algérienne dans différentes
conditions d'élevage. Deux volets ont été réalisés
: le premier consiste en un suivi en station de 245 lapines de cette
population sur une période de 5 années et le second
est une enquête réalisée chez les éleveurs
de la région de Tizi Ouzou. Dix sept d'entre eux, ayant 29
lapines en moyenne par élevage (20 à 57), ont fourni
des résultats exploitables. Les performances sont sensiblement
identiques: 6,3 nés vivants par mise bas en moyenne. La productivité
numérique enregistrée chez les femelles est de lordre
25 à 30 lapins sevrés / femelle / an. Les lapereaux
élevés en station ont été vendus au poids
de 2,03 kg à l'âge de 12 semaines, tandis que chez les
éleveurs les chiffres équivalents étaient de
2,20 kg et 13,5 semaines. Un programme d'amélioration génétique
utilisant cette population et permettant d'améliorer les performances
(prolificité et vitesse de croissance) tout en conservant les
qualités d'adaptation au milieu, a été mis en
place (voir la communication suivante). |
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M.
GACEM1, G. BOLET2,
2005. Création d'une lignée issue du croisement
entre une population locale et une souche européenne pour améliorer
la production cunicole en Algérie.11èmes Journées
de la Recherche cunicole, 29-30 nov. 2005 Paris, ITAVI édit.,
15-18.
1 Institut
Technique des Elevages, BP03, Baba Ali, Birtouta, Algérie
2 INRA, Station d'Amélioration génétique des
Animaux, BP 52627, 31326 Castanet Tolosan cedex, France |
Résumé.
Il existe en Algérie une population locale bien adaptée
aux conditions climatiques, mais dont la prolificité et le
poids sont trop faibles. Dans le cadre d'un programme de coopération
entre l'INRA et l'ITELV, une souche synthétique issue de l'insémination
de femelles de cette population par de la semence de mâles de
la souche INRA2666 a été mise en place. Par rapport
aux caractéristiques moyennes de la population locales, les
femelles F2 ont une prolificité supérieure d'environ
1,8 lapereaux nés vivants et 1,6 sevrés par portée.
Adultes, les lapines pèsent environ 500 grammes de plus et
les lapereaux pèsent individuellement 175 grammes de plus au
sevrage. Ces résultats doivent être confirmés
par une comparaison rigoureuse dans les générations
ultérieures, mais constituent une voie intéressante
pour l'amélioration de la production de lapin de chair en Algérie. |
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H.
GARREAU1, R. DUZERT1,
F. TUDELA2, C. BAILLOT
2, J. RUESCHE 2, G. GRAUBY2,
C. LILLE-LARROUCAU2 , H. DE ROCHAMBEAU1,
2005. Gestion et sélection de la souche INRA 1777 : Résultats
de trois générations de sélection. 11èmes
Journées de la Recherche cunicole, 29-30 nov. 2005 Paris,
ITAVI édit., 19-22.
1INRA,
Station dAmélioration Génétique des Animaux,
BP 52627, 31326 Castanet-Tolosan Cedex, France
2INRA Station Expérimentale Lapins, BP 52627, 31326 Castanet
Tolosan Cedex, France
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Résumé.
La souche 1777, issue de la souche 1077, a été
sélectionnée pendant 3 générations (121
femelles et 33 mâles par génération - 39 semaines
entre générations) sur la taille de portée
et les effets directs et maternels du poids au sevrage en appliquant
une méthode doptimisation du progrès génétique
sous contrainte daugmentation maximale de consanguinité
fixée à 1 % (logiciel GENCONT). Un algorithme visant
à limiter les coefficients de parenté entre les reproducteurs
sélectionnés a été utilisé pour
réaliser les plans daccouplements.
Le progrès génétique par génération,
estimé par la méthode du BLUP modèle animal,
a été de +0,13 nés vivants par portée.
Il a été de +7,5 grammes et de +7,2 grammes pour les
effets directs et maternels du poids individuel au sevrage, respectivement.
Les 2 effets étant additifs, le progrès génétique
moyen par génération a été de +14,7
g pour ce poids. Lévolution de la consanguinité
a été très faible sur les 3 générations.
A partir d'un taux de consanguinité de 11,2% dans la population
fondatrice (sur la base de 12 générations d'ancêtres),
l'évolution a été nulle pour les 2 premières
générations et de +0,8% de la génération
2 à la génération 3. Lalgorithme H03ABF
utilisé pour les plans daccouplement, combinée
avec l'utilisation du logiciel GENCONT a ainsi permis de réduire
lévolution de consanguinité au-delà de
celle autorisée par la méthode doptimisation
du progrès génétique.
(NDLR : malgré une lecture attentive
du texte complet de la publication, il n'a pas été
possible de déterminer l'âge des lapereaux au sevrage.
Ils pèsent 14,7 g de plus à chaque génération
mais on ne connaît ni le poids moyen de départ ni l'âge
de ces animaux. Le seul élément "indicatif"
est le rythme de reproduction employé : IA toutes les 6 semaines)
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J.
ARNOLD1, H. DE ROCHAMBEAU2,
J. J. MENIGOZ1, 2005. La coloration
chez le lapin : du patron au gène. Essai de synthèse
critique des connaissances actuelles. 11èmes Journées
de la Recherche cunicole, 29-30 nov. 2005 Paris, ITAVI édit.,
23-26
1Fédération
Française de Cuniculiculture, 28 rue du Rocher, 75008 Paris,
France
2INRA, Station dAmélioration Génétique
des Animaux, BP 52627, 31326 Castanet-Tolosan cedex, France
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Résumé
:
Nous proposons une méthode de description de la couleur du
pelage dun lapin. La méthode prend en compte l'existence
de 2 types de mélanine chez le lapin : l'eumélanine
(couleur noire ou brune) et la phaénomélanine (couleur
orangé roux). Chez le lapin sauvage, les poils du corps sont
dits zonés. Ils ont 3 couleurs sur leur longueur: bleuâtre
à la base (=sous-couleur) , brun orangé au milieu
(=entre couleur) et gris-brun à la pointe (=couleur). Les
poils peuvent être zonés ou non selon leur position
sur le corps (dos, ventre, extrémités, .). La méthode
consiste
à répondre à cinq questions.
1- Est-ce que le lapin est albinos? oui
- non
2- Auquel des huit patrons appartient le lapin? agouti
sauvage - agouti bicolore - agouti harlequin - pigmentation accentuée
aux extrémités du corps - unicolore - argenté
- panaché plaqué -
panaché tacheté.
3- L'eumélanine noire est-t-elle diluée en bleu ou
transformée en brun? noir
- bleu - brun - lilas
4- L'entre-couleur est elle brun-orangé ou blanche? brun-orangé
, blanc
5- Quelle est la largeur de l'entre-couleur? celle
du garenne - moins large - plus large - a envahi le poil
Lobservation des lapins issus dun croisement entre des
lapins chinchilla et des lapins albinos montre que le symbolisme
réducteur du modèle génétique ne rend
pas compte de la complexité des phénotypes. Il apparait
ainsi 15% de lapin noirs non prévus par la génétique
mendélienne sur la base d'une seule différence de
gènes au même locus C pour ces deux phénotypes:
c-ch pour le chinchilla et c pour l'albinos.
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IIllustration
des options de la question 2: Les huits patrons et quelques exemples
de races typiques |
agouti
sauvage |
agouti
bicolore |
agouti
harlequin |
pigment
extrémités |
unicolore |
argenté |
panaché
plaqué |
panaché
tacheté |
Lapin de garenne |
Feu noir |
Japonais |
Chamois de Thuringe |
Alaska
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Argenté
de Champagne |
Hollandais noir |
Petit Papillon
Rhénan |
Normand |
Nain Noir & Blanc |
Rhoen |
Russe |
Bleu de Vienne |
Petit Argenté Noir |
Hollandais madagascar |
Géant Papillon |
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C.
CHANTRY-DARMON12, C. URIEN1,
H. DE ROCHAMBEAU3, D. ALLAIN3,
B. PENA3, G. BOLET3,
H. GARREAU3, H. HAYES2,
M. BERTAUD2, C. GROHS2,
S. CHADI-TAOURIT2, S. DERETZ-PICOULET
4, C. LARZUL5,
J.C. SAVE1,
E. P. CRIBIU2, P. CHARDON1,
C. ROGEL-GAILLARD1. 2005. Carte
génétique du lapin: état des lieux et perspectives.
11èmes Journées de la Recherche cunicole, 29-30
nov. 2005 Paris, ITAVI édit., 27-30.
1Laboratoire
de Radiobiologie et Etude du Génome, UMR INRA CEA 314, 78352
Jouy-en-Josas Cedex, France
2Laboratoire de Génétique biochimique et Cytogénétique,
INRA, 78352 Jouy-en-Josas Cedex, France
3Station dAmélioration Génétique des
Animaux, INRA, BP52627, 31326 Castanet-Tolosan Cedex, France
4G.E.P.A. INRA Le Magneraud, 17700 Surgères, France
5Station de Génétique Quantitative et Appliquée,
78352 Jouy-en-Josas Cedex, France,
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Résumé.
LINRA a engagé un programme de cartographie du génome
du lapin européen (Oryctolagus cuniculus) en décembre
2001. Lobjectif était de baliser le génome avec
des marqueurs microsatellites ayant une localisation chromosomique
connue, cette approche permettant de construire directement une
carte intégrée génétique et cytogénétique.
Parmi 305 séquences microsatellites isolées, 183 ont
un ancrage cytogénétique. Des familles de 3 générations
ont été produites et génotypées (voir
schéma ci-dessous). Les marqueurs polymorphes présentent
de 2 à 7 allèles, avec une moyenne de 3,3. La carte
génétique sétend sur 2729 cM et couvre
21 des 23 chromosomes du lapin (voir schéma ci-dessous) Elle
comprend 93 marqueurs répartis en 21 groupes de liaison et
18 marqueurs polymorphes singleton avec une position cytogénétique.
De densité encore limitée, cette carte, validée
par la localisation des caractères angora et albinos, en
ségrégation dans les familles du modèle expérimental
étudié, permet de développer la recherche de
marqueurs, de gènes ou de QTL pour des caractères
dintérêt zootechnique ou biomédical chez
le lapin.
Chez le lapin, la très importante variabilité génétique
observée, allant des souches sélectionnées
aux races patrimoniales et aux populations sauvages permet d'envisager
facilement des programmes de détection basés sur des
populations fortement divergentes. Toutefois, contrairement à
d'autres espèces, la faible valeur unitaire pénalise
l'intérêt économique de ces travaux. La perspective
la plus intéressante dans ce domaine est lintrogression
de gènes assistée par marqueurs pour des caractères
difficiles à améliorer par les méthodes classiques
de sélection. En raison du coût engendré par
les multiples pathologies des élevages cunicoles et de la
volonté des pouvoirs publics de réduire lutilisation
dantibiotiques, la sélection pour la résistance
aux maladies est aujourdhui un axe privilégié
de recherche. Toutefois, avant de rechercher les gènes de
résistance ou de susceptibilité, nous devons aujourdhui
poursuivre les travaux permettant de mesurer précisément
la résistance des lapins aux pathologies majeures (pasteurellose)
et de mieux connaître les agents pathogènes responsables
(Entéropathie épizootique).
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